A Marseille ; le 18/08/1836
Interview exclusive du comte de Monte cristo par un journaliste du journal de Debray
Journaliste
: Bonjour, monsieur le comte avant de partir, voulez vous nous accorder
une interview , vous êtes bien le comte de Monte cristo , en fait vous
êtes de qu’elle nationalité ?
Le Comte : Je suis de la nationalité
du pays où je me trouve, les anglais me prennent pour un anglais car je
parle avec pureté cette langue, le sultan ottoman me prenait pour un
turc pour la même raison et vous vous me croyez Français car je parle
aussi avec pureté cette langue.
Journaliste : Bon, de qu’elle pays venez vous
Le Comte : Je viens de nulle part.
Journaliste
: Vous avez eu une éducation spéciale, non ? , car les parisiens
n’avait jamais vu une telle courtoisie chez un étranger, et avez-vous
de la famille à monte cristo ?
Le comte : Non je n’ai plus de
famille et j’ai eu une éducation comme les autres enfants, ce n’est que
plus tard que la vengeance m’a éduquer !
J : Que voulez vous dire ?
CM: Je veux dire Que je ne suis pas un simple spectateur dans les derniers évènements qui se sont passé à Paris.
J
: C’est vrais qu vous connaissiez très bien Ferdinand de Morcerf ainsi
que sont fils Albert et le premier est mort et l’autre a disparu , vous
connaissiez très bien aussi M . Danglar qui est maintenant ruiné. Vous
étiez aussi une grande connaissance de ce pauvre M. de Villefort qui a
subit la mort de sa femme, de son fils , sa fille et ses parents et on
raconte qu’i l serait devenus fous .
CM : Je pense qu’il méritait
tous ce qu’ils leurs aient arrivés a part monsieur de Villefort qui ne
méritait pas malgré tous ses crimes une pareil punition de Dieu.
J : À vous entendre, on croirait que tous ces malheurs étaient mérités.
CM
: Pour un homme, qui trahis un de ses amis par ambition, pour un autre
par amour, pour un homme qui pour préserver sa réputation a trahis la
justice a condamné un homme innocent cela était mérité. Bon, maintenant
je dois y allé mon bateau part dans un quart d’heure.
J : Et où allés vous, monsieur le comte ?
CM : En Orient avec ma chère Haydée qui remplacera cette cher Mercedes. Au revoir !
Et ces sur mot énigmatique qu’il partit.