L'enfant

De Julien Léa a Jacques Vingtras:

J.L: Votre enfance ne semble pas avoir été des plus heureuses? Quels souvenir en gardez vous ?
J.V: Un souvenir amer, cleui d'un enfant unique mal aimé; un enfant " dechet "

J.L: Où avez vous vécu pendant cette partie de votre vie ?
J.V: J'ai passé une grande partie de mon enfance près du Puy, dans un petit village a Farreyrolle. Ensuite mon père étant professeur de collège a était mutté à Saint Etienne, j'avais déjà bien grandi.Puis, lorsque j'ai eu 15 ans, il a trouver un autre poste a Nantes. Nous sommes donc partis a Nantes. J'ai aussi passé une année a Paris pour poursuivre mes études .

J.L: Votre père était professeur, votre milieu était plutôt d'un milieu élevé ?
J.V: Mes parents étaient enfants de paysans, mais tenaient a s'élevé au rang de bourgeois, pourtant les maisons que nous avon habité n'ont jamais étaient de grandes demeures!

J.L: Quelles étaient vos relations avec vos parents ?
J.V: Mes parents étaient très stricts, en particulier ma mère qui, pleine de de principes selon lesquels il ne faut pas gâter les enfants, me battais tout les matins. Mon père, lui n'était pas toujours très présent à la maison et laissé faire ma mère car il se préoccupait plus de son image auprès de ses collègues que de sa famille.

J.L: D'où venait cette violence de la part de votre mère? Etait elle justifier ?
J.V: Je dirais que je n'etais pas un enfant plus difficile qu'un autre, mais ma mère voulait que les bonnes manières soit respecter a la lettre.Et j'entend toujours cette phrase qu'elle repetait si souvent qui commencé par " Jacques fait ci, Jacque fait ça! "

J.L: Quel éleve étiez vou ?
J.V: J'étais plutôt dissipé au plus grand desespoir de mes parents, je ne savais pas ce que je voulais faire de ma vie, je n'aimais pas l'école qui était pour moi un lieu d'ennui. Pourtant je suis allé dans un internat pour gagner des prix avec les vers que j'ecrivais en latin. Mais ce n'était pas ce que je voulais faire. Ce n'est qu'après cette longue année passé en internat que j'ai trouver ma voie: Un ami journaliste m'avait prêter un livre sur le metier, et ce fut la révélation, je deviendrai journaliste.

J.L: Est ce que vou gardez quand même quelques souvenirs heureux de votre enfance ?
J.V: Oui, je me souviens de ce moment dans le bateau que nous avions pris pour rejoindre Nantes. Ma mère dormait, moi j'étais avec mon père et un ami a lui qu'il avait retrouvé dans le bateau. Cet ami de mon père nous invita prendre un verre dans sa cabine. Et pour la premiere fois de ma vie, je me suis senti libre. Personne n'était là pour me rappeler les bonne manieres, mon père avait un peu bu, il me laissait donc faie plus de choses. Et il y a eu le jour ou l'on été a l'hopital, lorsque mon père confiait a ma mere qu'il m'aimait ...